Malgré un contexte économique morose, les entreprises ont confirmé leur intention d'accélérer leur politique de recrutement de cadres pour l'année 2023. Elles devraient néanmoins faire face à des difficultés, à commencer par une baisse des candidatures.

Depuis la pandémie du Covid-19, le monde du travail assiste à l'émergence d'un phénomène qui inquiète les dirigeants d'entreprise : le quiet quitting ou la démission silencieuse. Mais, de quoi s'agit-il exactement et comment les entreprises peuvent-elles s’en prémunir ?

La sortie de la crise sanitaire a entraîné un regain de l’activité économique, les entreprises doivent impérativement embaucher. Mais selon les résultats d’une étude de Pôle emploi, elles sont confrontées à des difficultés de recrutement. Quelles sont les causes ? Quelles solutions permettent d’y remédier ?

La Grande Démission, déjà connue aux États-Unis, où près de 48 millions d’Américains ont quitté leur emploi en 2021, serait-elle en train de se produire en France ? Cette tendance semble se confirmer dans l'hexagone où un demi-million de Français ont démissionné de leur poste entre fin 2021 et début 2022.

La crise sanitaire a eu un impact conséquent sur le monde du travail. Le télétravail s'est énormément développé et il est désormais envisageable de travailler de chez soi, même à des dizaines voire des centaines de kilomètres de son entreprise. Un nouveau modèle managérial a émergé de ce contexte : le « Teamisme ».

Si certains salariés envisageaient depuis quelque temps de changer d’entreprise, la crise sanitaire liée au SARS-Cov-2 est en train de leur faire sauter le pas, au point qu’on redoute ce qu’on appelle « la Grande Démission ». Comment les entreprises doivent-elles se comporter pour conserver leurs talents ?

La crise sanitaire a fortement impacté les entreprises et provoqué d’importantes mutations structurelles. Face à cela, les DRH doivent faire preuve d’adaptation. D’autre part, ils sont, bien plus qu’en 2020, interpelés par les salariés qui s’interrogent sur leur carrière au sein de ce contexte mouvant. Comment peuvent-ils les accompagner ?

Avec la reprise du travail en présentiel, de nombreuses questions se posent quant à la gestion du retour des employés au bureau. Si certains n’ont pas forcément adhéré au modèle de télétravail qui a été imposé pendant de longs mois, d’autres ont vu leur santé s’améliorer et leur productivité atteindre de nouveaux sommets.

De nombreuses entreprises ont souffert de la crise sanitaire qui sévit en France et dans le monde. Il a fallu s’adapter à de nouvelles conditions de vie, de travail et de consommation.

Si la pandémie de Covid-19 a impacté négativement de nombreux domaines de la société, elle constitue également une opportunité pour repenser la philosophie entrepreneuriale et améliorer ainsi l’expérience des employés.

Le préboarding correspond à une période de transition entre la promesse d’embauche et la date effective de prise de fonction d’un collaborateur. Il consiste pour son futur employeur à sécuriser cette période, c’est-à-dire à continuer de le conquérir pour ne pas le perdre. En quoi consiste-t-il précisément, comment le mettre en œuvre et pourquoi est-il si important ?

« Le travail a des exigences étonnantes, et que l’on ne comprend jamais assez », écrivait le philosophe Alain à la fin du XIXème siècle. Ses propos font écho à notre époque, où les contraintes sanitaires – précipitant les mutations technologiques – interrogent la conception comme l’organisation du travail.

La crise sanitaire et économique appelle des changements profonds à deux niveaux. D’abord au niveau de l’État, pour soutenir les entreprises et les salariés, et ensuite au sein même des entreprises, dans leur gestion des ressources humaines.

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